Guerre aux terroristes, pas aux salariés et aux libertés publiques!
Car comme l'indique l'Union départementale CGT d e Paris
"Ce terrible 13 novembre ne doit pas être l’occasion de restreindre les libertés publiques : nous sommes préoccupés par l’instauration de l’état d’urgence et les éventuelles conséquences pour la les salarié-es et citoyens en France. Il serait paradoxal que les manifestations syndicales des pro-chains jours ne puissent pas se tenir alors qu’elles ont pour thèmes centraux les libertés, le droit, et la lutte contre les violences patronales, les violences faites aux migrants et les violences faites aux femmes."
En précisant d'autre part :
" L’heure n’est donc pas à la démobilisation sociale au nom d’une « unité nationale », bien au contraire."