CSG : le recul à la marge du pouvoir c'est la preuve concrète que malgré ses rodomontades c'est bien la rue qu'il craint !

Publié le par FSC

La force du mouvement qui s'annonce produit déjà quelques effets.

En plus du recul sur la CSG pour une centaine de milliers de retraités c'est l'abandon en catimini du projet de suppression du coefficient familial.

La stratégie du chaos et des contre-réformes en batterie et à marche forcée commence à se heurter à une forte résistance.

La convergence des luttes se construira solidement en mettant en relief auprès de l'opinion et d'abord des travailleurs, du peuple que c'est l'ensemble du projet politique de Macron qu'il faut mettre en échec en surmontant les divisions et la diversité des conséquences de cette politique pour les cheminots, les agents publics, les retraités, les sans emploi, les précaires, les paysans conduits à la ruine ou au au suicide, la jeunesse sacrifiée, sélectionnée, mise à disposition du patronat à vil prix ...

Et le syndicalisme ne doit pas hésiter devant la nécessité de s'allier en toute indépendance avec les organisations politiques qui s'engagent sans ambiguïté dans la lutte contre cette politique. 

 

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SOURCE : Franc Info

Le Premier ministre s'engage à revoir la hausse de la CSG pour 100 000 retraités parmi les plus modestes : ceux qui, en couple, gagnent moins de 1 800 euros mensuels. Le dispositif ne sera rectifié que l'an prochain.

Des retraités dans la rue et une colère qui ne retombe pas. Cinq jours après les manifestations, le Premier ministre fait des concessions : il n'y aura pas de hausse de la CSG pour certains retraités modestes qui étaient jusque-là touchés par la réforme. Concrètement, cette hausse de la CSG concerne les ménages qui touchent un revenu supérieur à 1 200 euros par mois pour une personne seule, et 1 830 euros pour un couple.

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