Face au mouvement social le premier ministre applique le programme macronien : substituer la question sécuritaire à la question sociale !
Preuve s'il en fallait que la concertation annoncée est une concertation bidon et que pour le pouvoir il s'agit de regagner du terrain et de continuer à mettre en oeuvre ses contre-réformes : retraites, indemnisation du chômage, contre-réforme de l'état, privatisations.
En passant aux oubliettes les revendications qui concernent le rétablissement de l'Impôt Sur la Fortune, une fiscalité juste, l'augmentation des salaires ... et les exigences démocratiques contre des institutions monarchiques.
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«Gilets jaunes»: Edouard Philippe annonce une «loi nouvelle» pour durcir les sanctions contre «les casseurs»
