Ceux qui veulent briser le mouvement !
A l'approche des fêtes de Noël ceux qui veulent briser le mouvement qui exige le RETRAIT de la contre-réforme essaient de jouer l'opinion contre les grévistes dans les transports et les transports dans la région parisienne en particulier.
A cette fin ils utilisent les fêtes de Noël et de fin d'année en réclamant une trêve, une pause à l'occasion de ces fêtes.
Sachant bien sûr que la dynamique en cours du mouvement social serait brisée si une pause intervenait et qu'un mouvement social ça ne fonctionne pas comme une armée à laquelle des ordres seraient donnés.
Convergence de la pression qui voit se mélanger à l'unisson les voix de la porte-parole du gouvernement, Sibeth Ndiaye, de la ministre de la transition écologique, Élisabeth Borne, du premier ministre, Edouard Philippe en passant par le PDG de la SNCF et Marine Le Pen.
Sans oublier le sieur Laurent Berger de la CFDT qui n'a "rejoint" le mouvement que pour tenter de le torpiller et de soulager le pouvoir macronien de la pression qui pèse sur lui pour exiger non pas le retrait de l'âge pivot, mais le RETRAIT, oui le RETRAIT de la contre-réforme dans son ensemble.
Et comment celui qui n'appelle pas à la grève, qui n'a cessé de la contrer peut-il être crédible, peut-il prétendre avoir le moindre crédit pour demander aux grévistes d'arrêter !
Il faut arrêter d'être indulgent à l'égard du jaune et du briseur de grève qu'est effectivement Laurent BERGER !







Jeudi, la porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye a salué la “responsabilité” de la CFDT qui exclut des grèves pendant les fêtes. “Je pense que c’est important de permettre à nos concitoyens de vivre les fêtes de fin d’année en famille quand ils le peuvent et quand ils le souhaitent.
Tout en appelant à manifester mardi 17 décembre, prochaine journée de mobilisation nationale, le Rassemblement national de Marine Le Pen réclame néanmoins une “trêve” pendant les fêtes.
Plus que jamais amplifions le mouvement jusqu'au
R E T R A I T
de la contre-réforme