A Guantanamo Bay, les Etats-Unis continuent de torturer des prisonniers ... Et ils prétendent donner des leçons de démocratie au monde entier !
Artisans de crimes contre l'humanité (Hiroshima, Nagasaki, agent orange contre le peuple vietnamien ...) sans parler des sanglantes interventions qui se sont soldées par des centaines de milliers de victimes, les dirigeants US, Biden et ses vassaux se rassemblent pour tenter de sauver leur hégémonie mortifère.
Au risque provoquant sous des mensonges éhontés la Chine et la Russie notamment, au risque de déclencher de désatreux affrontements dont les peuples seraient les premières et essentielles victimes.
________________________
Jamais vous n'entendrez les chantres des droits de l'Homme, comme l'infâme Raphael Glucksmann, réagir et condamner les Etats-Unis pour atteinte aux droits de l'Homme.
Et pourtant la torture et d'autres formes d'interrogatoires renforcés de suspects enfermés dans la prison de Guantanamo demeure.
Traduction Nico Maury
L'agence Spoutnik a cité ses propos lors de la présentation de son témoignage devant la commission judiciaire du Sénat des États-Unis, lorsqu'il a déclaré : "La torture a un impact et sape tous les aspects du droit".
L'avocat a ajouté que la torture était au centre des problèmes à la prison de Guantanamo, tandis que la recherche de la justice était une préoccupation secondaire. "Les États-Unis ont choisi de détenir et de torturer secrètement les hommes qu'ils cherchent maintenant à punir. Dès le début, la justice a été renvoyé à un temps second", a-t-il déclaré.
Baker a dénoncé les responsables du renseignement américain, qui menacent souvent ouvertement les détenus, affirmant qu'ils ne seront jamais équitablement jugés devant les tribunaux et que le monde ne saura jamais ce qui se passe dans le centre de détention.
Créée par le président George W. Bush (2001-2009) en 2002, la prison de Guantanamo a longtemps été critiquée pour les mauvais traitements et les tortures infligés aux détenus.
L'ancien président Donald Trump (2017-2021) a signé une ordonnance pour maintenir le centre de détention ouvert indéfiniment, tandis que l'actuel président Joe Biden a promis de le fermer.
À Guantanamo, il y a encore 39 détenus, dont 28 n'ont pas reçu d'accusation pour aucun crime au cours des deux dernières décennies. Ils sont détenus indéfiniment.
Cuba exige dans toutes les réunions internationales la rétrocession de ce territoire illégalement occupé par le gouvernement des États-Unis, mais la Maison Blanche refuse la demande du gouvernement cubain.
Granma