UKRAINE : Nir wieder Krieg ! (plus jamais la guerre) appel de pacifistes allemands !

Publié le par FSC

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La crise autour de l'Ukraine s'est transformée en une grave menace pour la paix en Europe.

L'attribution unilatérale de la responsabilité à la Russie, comme le font certains gouvernements occidentaux et les grands médias, n'est pas justifiée et prend de plus en plus l'allure d'une propagande de guerre.

Malgré les manœuvres militaires à proximité de l'Ukraine, la Russie n'a aucun intérêt à une guerre qui aurait des conséquences catastrophiques pour toutes les parties. Un nombre similaire de soldats se trouvent du côté ukrainien et menacent les zones contrôlées par les rebelles pro-russes dans l'est de l'Ukraine. Même sans intention belliqueuse, compte tenu de la situation tendue, le risque existe qu'une provocation devienne l'étincelle qui fera exploser la poudrière.

C'est un intérêt légitime pour la sécurité de Moscou que l'élargissement à l'est de l'OTAN, qui se rapproche de plus en plus des frontières russes depuis 1999, ne s'étende pas à l'Ukraine. Cela réduirait à cinq minutes le délai d'alerte de Moscou en cas d'attaque par des missiles nucléaires.

La crise actuelle s'inscrit dans un conflit global et de longue date, dont les racines se trouvent dans la revendication des Etats-Unis "que l'Amérique dirige à nouveau le monde", selon les termes du président américain. Les partenaires européens de l'OTAN s'y rallient avec quelques nuances en tant que partenaires juniors. En revanche, d'autres, dont la Russie, refusent la domination occidentale et veulent être respectés en tant que partenaires égaux dans un ordre mondial multipolaire.

Il est temps d'accepter à nouveau le principe d'une sécurité commune non partagée, comme cela avait déjà été reconnu pendant la guerre froide. À l'ère du nucléaire, aucune partie ne peut renforcer sa sécurité au détriment de l'autre. La sécurité ne peut être que commune. Une paix durable avec la Russie nécessite donc un ordre de paix paneuropéen.

Les premières étapes doivent être une démilitarisation le long de la frontière russo-ukrainienne et aux frontières entre la Russie et l'OTAN, ainsi que la mise en œuvre des accords de Minsk II. Cet accord prévoit un cessez-le-feu, un dialogue entre les parties au conflit et un statut spécial pour les régions de Donetsk et de Louhansk au sein de l'Ukraine. Par décision unanime du Conseil de sécurité de l'ONU, Minsk II a également un statut contraignant en droit international. Sa mise en œuvre est toutefois principalement bloquée par l'Ukraine. Les sanctions ne changeront rien au conflit. Elles nuisent inutilement à la Russie et aux autres pays européens.

Les forces qui attisent les tensions par un nationalisme agressif et un revanchisme doivent être repoussées de tous les côtés.

La guerre de propagande, les bruits de sabre, les sanctions et le réarmement doivent cesser. En lieu et place, nous avons besoin de désescalade et de diplomatie. Et ce d'autant plus que la menace globale des catastrophes climatiques et environnementales ne peut être écartée que par la coopération internationale.

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Original :

Die Krise um die Ukraine hat sich zur ernsten Bedrohung des Friedens in Europa zugespitzt.

Eine einseitige Schuldzuweisung an Russland, wie sie von einigen westlichen Regierungen und in den großen Medien vorgenommen wird, ist nicht gerechtfertigt und nimmt zunehmend den Charakter von Kriegspropaganda an.

Trotz der Militärmanöver in der Nähe zur Ukraine hat Russland kein Interesse an einem Krieg, der für alle Seiten katastrophale Folgen hätte. Es stehen ähnlich viele Soldaten auf der ukrainischen Seite und bedrohen die von pro-russischen Rebellen kontrollierten Gebiete in der Ostukraine. Auch ohne kriegerische Absicht besteht angesichts der angespannten Situation die Gefahr, dass eine Provokation zum Funken wird, der das Pulverfass explodieren lässt.

Es ist ein legitimes Sicherheitsinteresse Moskaus, dass die Osterweiterung der NATO, die seit 1999 immer näher an die russischen Grenzen heranrückt, nicht auch noch auf die Ukraine ausgedehnt wird. Das würde die Vorwarnzeit für Moskau bei einem Angriff mit Atomraketen auf 5 Minuten verkürzen.

Die aktuelle Krise ist Teil eines globalen und seit längerem bestehenden Konflikts, dessen Wurzeln im Anspruch der USA liegen, „dass Amerika wieder die Welt führt,“ wie es der US-Präsident formuliert. Die europäischen NATO-Partner schließen sich dem mit einigen Nuancierungen als Juniorpartner an. Dagegen lehnen andere, darunter Russland, eine westliche Dominanz ab und wollen als gleichberechtigte Partner in einer multipolaren Weltordnung respektiert werden.

Es ist an der Zeit, dass das Prinzip der ungeteilten, gemeinsamen Sicherheit wieder akzeptiert wird, wie es bereits im Kalten Krieg anerkannt wurde. Im Atomzeitalter kann keine Seite ihre Sicherheit auf Kosten der anderen erhöhen. Sicherheit gibt es nur gemeinsam. Dauerhafter Frieden mit Russland erfordert daher eine gesamteuropäische Friedensordnung.

Erste Schritte müssen eine Demilitarisierung entlang der russisch-ukrainischen Grenze und an den Grenzen zwischen Russland und der NATO sein, sowie die Umsetzung des Abkommens von Minsk II. Es sieht einen Waffenstillstand vor, Dialog der Konfliktparteien und einen Sonderstatus der Regionen Donezk und Luhansk innerhalb der Ukraine. Durch einstimmigen UN-Sicherheitsratsbeschluss hat Minsk II auch verbindlichen Völkerrechtsstatus. Die Umsetzung wird jedoch hauptsächlich von der Ukraine blockiert. Sanktionen werden an dem Konflikt nichts ändern. Sie schädigen sinnlos sowohl Russland als auch die anderen europäischen Länder.

Kräfte, die mit aggressivem Nationalismus und Revanchismus die Spannungen anheizen, müssen auf allen Seiten zurückgedrängt werden.

Propagandakrieg, Säbelrasseln, Sanktionen und Aufrüstung müssen aufhören. Stattdessen brauchen wir Deeskalation und Diplomatie. Dies umso mehr, als die globale Bedrohung durch Klima- und Umweltkatastrophen nur durch internationale Kooperation abgewendet werden kann.

 

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