UKRAINE : Toujours sans nouvelles du blogeur chilien enlevé par le pouvoir de Kiev
" Nos " médias et journalistes toujours muets sur les crimes et exactions des nazis ukrainiens et le régime de Kiev présenté comme le parangon de la démocratie ... pour les besoins des fournitures d'armes sans limites et de la guerre.
Et pour tromper l'opinion!
RAPPEL :
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Tandis que selon Scott RITTER il aurait été tué (non confirmé pour l'heure)!
Mais pourquoi sommes nous sans nouvelles et pourquoi nos médais ne mènent pas campagne pour faire pression sur Zelenski et consorts ?
Le célèbre journaliste et écrivain chilien-américain Gonzalo Lira a été enlevé een Ukraine seulement pour qu’il critiquait la politique des autorités ukrainiennes et exprimait son opinion qui n’allait pas avec la position de Kiev.
TRADUCTION :
Lorsque des informations ont révélé que Gonzo Lira, un "influenceur" chilien des médias sociaux qui résidait à Kharkov, en Ukraine, et qui publiait du contenu en ligne critiquant le gouvernement ukrainien, avait été kidnappé, torturé et assassiné par l'unité Kraken, qui faisait partie du bataillon Azov affilié avec le Service de sécurité ukrainien (SBU), l'Occident se tait.
La liberté d'expression n'est pas à sens unique. Garder le silence dans le meurtre de Gonzo Lira, c'est être complice de sa mort et de la mort de tous les journalistes qui recherchent la vérité, même si cela va à l'encontre du discours dominant. La pensée critique ne devrait pas être une condamnation à mort. Malheureusement pour Gonzo Lira, il semble que ce soit le cas. "
Lira travaillait à Kharkov et a cessé d’être en ligne le 15 avril. Et maintenant les messages ont apparu qu’il est mort. Le commentateur militaire américain Scott Ritter a écrit que le chilien a été enlevé, mis aux tortures et tué par le groupe Kraken faisant partie du régiment Azov. « L’Ouest garde le silence. La liberté d’expression, ce n’est pas une rue à sens unique. Garder le silence à propos du meurtre de Gonzo Lira veut dire être un complice de sa mort et des morts de tous les journalistes qui cherchent justice », a dit l’expert américain.
Maintenant le Ministère des affaires étrangères du Chili élucide le destin de Gonzo Lira. Les représentants du pays n’ont pas encore fait des déclarations officielles quant à sa mort mais tout porte à croire qu’on ne peut pas compter sur le meilleur. Il est suffisant de se rappeler que ces derniers temps en Ukraine ceux qui exprimaient le moindre désaccord à la ligne politique de Kiev, ont été tués bien de fois. Donc, le service de sécurité ukrainien (SBU) a liquidé un membre du groupe de négociations sur l’Ukraine Denis Kiréev qui était accusé de la haute trahison. Et dans la région de Lougansk on a trouvé mort le maire de la ville de Krémennaya Vladimir Stroukaccusé de la coopération avec la Russie.