International : en Ukraine, la chasse aux espions pourrait virer aux exactions
SOURCES : Histoire et société
ET Dedefensa.org
Bientôt il n’y aura plus que “la gauche” française, LCI et ses invraisemblables spécialistes qui vont de la néo-nazie ukrainienne à l’espion du KGB qui raconte n’importe quoi pour pousser à la surenchère guerrière, sans oublier à la pointe des “bellicistes” le “boulet” du secteur international du PCF, pour défendre Zelensky et les siens. Le cercle des inconditionnels se raréfie et on laisse filtrer quelques renseignements sur qui dirige l’Ukraine.
Les Etats-Unis, l’OTAN et des oligarques corrompus avec à leur solde quelques néo-nazis pour effrayer l’ukrainien peu convaincu des bienfaits d’un tel système. Ces individus que la propagande occidentale tient à bout de bras, non contents d’attaquer leur propre peuple, le piller depuis 2014, pratiquent aujourd’hui la chasse aux sorcières des pro-russes en appelant à la délation.
La lâcheté du consensus aura-t-elle des limites? jusqu’à quand les communistes français accepteront-ils eux aussi pareils dirigeants qui depuis des années font la main à l’OTAN, freinent des quatre fers dans la défense de Cuba, du Venezuela, d’Assange et justifient leurs bourreaux, répandent des mensonges sur la Chine, le tout au nom de l’antistalinisme devenu simple censure et délation pour remplacer le centralisme démocratique?…
(note de Danielle Bleitrach pour histoireetsociete)
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Franceinfo – Il y a 34 minRéagir|
La procureure générale, a notamment dirigé l’enquête sur les atrocités présumées commises au début de l’invasion par les forces russes dans la ville de Boutcha, banlieue au nord-ouest de Kiev.©
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a limogé dimanche 17 juillet la procureure générale Iryna Venediktova et le chef des services Ivan Bakanov de sécurité du pays en raison de soupçons de trahison de certains de leurs subordonnés au profit des Russes. Les autorités ukrainiennes enquêtent sur plus de 650 cas de soupçons de trahison de responsables locaux, dont 60 dans les zones occupées par les forces russes et prorusses, a expliqué le chef d’Etat lors d’une conférence de presse.
Il s’agit en fait de deux alliés très proches avec qui le président avait mené campagne pour son élection (rappellons que son programme promettait la paix avec la Russie et le Donbass et la lutte contre la corruption endémique).
C’est un véritable coup de tonnerre politique qui a eu lieu dimanche soir, à Kiev, avec la publication de deux décrets présidentiels, qui limogent Ivan Bakanov et Iryna Venediktova, respectivement numéro un du SBU, les services secrets, et du parquet national.
Ces deux décisions interviennent alors que l’État ukrainien semble en train de commencer le grand ménage dans ses services de renseignement et dans l’appareil judiciaire, où l’on dénombre des dizaines, voire des centaines de cas de trahison et de collaboration avec les services russes. Ce sauve qui peut illustre le caractère pour le moins fantaisiste des nouvelles qui nous parviennent sur l’est et le sud du pays et l’accueil réservé à l’armée russe.
Décisions en cascades
Volodymyr Zelensky a justifié ces décisions en déclarant que 651 procédures criminelles pour haute trahison et intelligence avec l’ennemi avaient été engagées à l’encontre d’employés de ces deux institutions.
Ce week-end encore, un haut-responsable du département Crimée du SBU a été arrêté, accusé d’être un espion du FSB russe. Par ailleurs, l’exécutif rend le SBU responsable d’un sabotage de la défense du sud de l’Ukraine en février et du fait que des dizaines d’agents aient fait défection, notamment à Kherson, et soient passés à l’ennemi en territoire occupé.
Ainsi, dans le décret qui limoge Bakanov, l’ami de jeunesse de Zelensky, son associé de toujours, la présidence dénonce un « manquement aux devoirs et obligations du poste, qui a causé la perte de vies humaines ».
van Bakanov est comme un frère pour Volodymyr Zelensky. Les deux hommes sont des amis proches depuis leur adolescence. Bakanov, juriste de formation, est devenu l’associé de Zelensky au sein de sa société de production audiovisuelle,
C’est aussi lui qui a monté le système de sociétés offshore du clan Zelensky, révélées l’an dernier dans les Pandora Papers.
En 2019, lorsque Volodymyr Zelensky se lance dans l’aventure présidentielle, Ivan Bakanov devient un rouage incontournable de sa campagne : il est le créateur du parti politique « Serviteur du Peuple ».
Aucune expérience dans le renseignement
Zelensky élu, c’est encore à Bakanov qu’il fait confiance en le nommant patron du SBU, les services secrets, alors que son ami d’enfance n’a aucune expérience dans le domaine.
Résultat, le bilan de Bakanov à la tête des services secrets est extrêmement contrasté : selon plusieurs sources, il a fait preuve de dilettantisme et a délibérément saboté les nécessaires réformes du SBU.
Les services sont pléthoriques, avec plus de 30 000 employés… ce qui les rend fortement perméables à la corruption et à l’influence russe.
Ivan Bakanov a d’ailleurs nommé en 2020 des cadres du SBU qui se sont révélés être des agents double du FSB, notamment dans la région de Kherson : la responsabilité de la perte du sud du pays cet hiver pourrait être imputée à ses décisions.
Dans ce contexte de chasse aux taupes russes, Volodymyr Zelensky se voit forcé de sacrifier deux de ses plus proches alliés, qui ont accompagné son ascension politique en 2019.
La procureure générale, a notamment dirigé l’enquête sur les atrocités présumées commises au début de l’invasion par les forces russes dans la ville de Boutcha, banlieue au nord-ouest de Kiev, devenues aux yeux de l’Occident un symbole des “crimes de guerre” russes en Ukraine. Il faut rapprocher ces nouvelles de la découverte de la propagation de fausses nouvelles sur les supposés crimes russes de la part de la représentante de l’Ukraine à l’ONU.
“Un si grand nombre de crimes contre les fondations de la sécurité nationale et les liens établis entre des responsables ukrainiens en charge de l’application des lois et les services spéciaux russes posent des questions très sérieuses aux dirigeants concernés”, a déclaré Volodymyr Zelensky. “Chacune de ces questions recevra une réponse”, a-t-il ajouté en réitérant sa confiance en la victoire ukrainienne et ses appels de fond. Alors que beaucoup de responsables s’interrogent sur la manière dont l’envoi d’armes et de fonds sont détournés par la corruption ambiante.
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Quelques heures à peine après la suspension du numéro 1 du SBU (service de renseignements ukrainien) par Volodymyr Zelensky, et son annonce selon laquelle 650 enquêtes contre des fonctionnaires pour cause de collaboration avec l’ennemi étaient en cours, le gouverneur l’oblast de Mykolaïv annonce une grande purge dans sa région.
Sur Telegram, Vitali Kim annonce une récompense de 100$ à quiconque dénoncera ceux ayant fourni des informations sur la localisation des soldats ukrainiens aux soldats russes. Vitali Kim promet donc la carotte, mais aussi le bâton : « Nous voulons y mettre un terme [NDLR : aux transmissions d’informations sur la localisation des soldats ukrainiens]. Nous envisageons des mesures concernant le couvre-feu. Nous disposons d’une base de données importante. Nous allons fermer la ville pour quelques jours, nous irons frapper à la porte des mauvaises personnes.
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Dedefensa
Entame de la déconstruction de Zelenski ?
Quelques signes montrent que le président Zelenski est entré dans une zone d’une possible grande tempête pour sa position, ses ambitions et sa sécurité. • Il y a la purge qu’il vient d’effectuer dans divers services de sécurité et de la Justice, liquidant pour le coup le chef du SBU et la Procureure Générale. • Il y a les menaces russes de décapitation de la direction ukrainienne au cas où des frappes inacceptables auraient lieu, notamment contre la Crimée. • Il y a enfin l’action déstabilisatrice de Mr. Z d’une députée d’origine ukrainienne au Congrès US.
Le point d’interrogation de la déconstruction est-il nécessaire ? Lorsque nous parlons de Zelenski, c’est bien de l’homme lui-même, de sa clique, de son système de corruption, de la construction de son simulacre, de sa complicité active entachée de chantage des débris de directions du bloc-BAO, USA et UE la main dans la main, qui le soutiennent. Nous sommes en désagrément complet avec ceux des Européens anti-UE qui affirment que l’UE est complètement manipulée par les USA, que les USA veulent détruire l’Europe en plus de la Russie. Les USA ne veulent rien du tout, ils foncent comme des bisons aveugles, sans rien savoir ni comprendre, et l’UE fait de même. Le suicide est collectif, même rythme, même salade d’arguments ineptes, même simulacre...
Si l’UE est prisonnière de quelque chose c’est du maximalisme de ses membres antirusses de l’Est (Pologne, États-baltes), qui font régner la terreur dans les couloirs et les salles de réunion de l’Union. C’est à un niveau aussi bas que cela se passe, les US étant bien assez emberlificotés dans le fonctionnement de la poupée de son nommée Joe Biden, la réduction radicale de ses forces et de ses réserves de guerre, le prix de l’essence à la pompe et les millions de migrants illégaux qui déboulent sur son Sud. Mais qu’on se rassure, eux aussi, les USA comme l’UE, soutiennent glorieusement Zelenski. Il faut dire qu’il en a besoin, car il encaisse dur en ce moment.
Il existe trois fronts où Zelenski rencontre des difficultés, outre celles du champ de bataille bien entendu.
Zelenski a annoncé une purge importante de ses services de sécurité, remplaçant le chef du SBU (le service de renseignement ukrainien) et la procureure générale (ministre de la justice). La nouvelle est présentée avec de nombreux détails qui mentionne le limogeage de nombreux membres des services de sécurité, de trahisons, etc. On en trouve le détail dans le texte ci-dessous, le commentaire qu’on peut en faire étant qu’il s’agit d’une fracture importante à l’intérieur de l’appareil de sécurité ukrainien, et donc un signe tangible que le sens des opérations, favora ble aux Russes tandis que le soutien otanien/bloc-BAO devient un peu plus incertain, conduit certains à prendre leurs distances ou à prendre des assurances.
D’autre part, l’importance de la purge, le nombre de personnes impliquées, l’attaque de divers réseaux, laissent craindre la possibilité d’opérations de pénétration, d’intoxication et de provocation à l’intérieur des services. Des opérations de purge d’une telle ampleur implique l’instauration d’un climat de suspicion générale, la formation de clans antagonistes, de trahison des traîtres par d’autres traîtres, de taupes déguisées en dénonciateurs, bref tout ce qu’il faut pour rendre des services de sécurité qui travaillent sur la base de relations de complète loyauté de ses membres et d’étanchéité de ses départements complètement inopérants et ouverts à toutes les opérations de manipulation.
« Le président ukrainien Vladimir Zelensky a limogé la procureure générale Irina Venediktova et le chef de la principale agence de sécurité du pays, Ivan Bakanov, invoquant une “trahison” rampante dans les deux services.
» Dans l'annonce spectaculaire de dimanche, il a affirmé qu'un grand nombre d'employés de l'agence de Kiev qui a succédé au KGB, le SBU, – que Bakanov dirige depuis 2019, – travaillaient avec la Russie.
» “À ce jour, quelque 651 affaires pénales ont été enregistrées sur des activités de haute trahison et de collaboration des employés du bureau du procureur, des organes d'enquête préliminaire et d'autres organismes d'application de la loi”, a déclaré Zelensky, annonçant la décision.
» Dans le cadre du conflit actuel avec la Russie, “plus de 60 employés des forces de l'ordre et du SBU” sont restés en “territoire occupé” et travaillent désormais contre l'Ukraine, a affirmé M. Zelensky. Ce vaste “éventail de crimes”, ainsi que les contacts entre “les employés des forces de l'ordre de l'Ukraine et de la Russie”, posent de “sérieuses questions” aux responsables des organes respectifs, a-t-il poursuivi, en prévenant que “chacune de ces questions recevra une réponse appropriée.”
» Bakanov, qui a assumé le poste de chef des espions peu après la victoire présidentielle de Zelensky en 2019, a été démis de ses fonctions en vertu de l'article 47 du statut disciplinaire de l'armée ukrainienne. L'article fait spécifiquement référence à un manquement grave aux devoirs officiels “qui a causé la perte de vies humaines ou d'autres conséquences graves ou créer une menace de telles conséquences.”
» Si le successeur de Bakanov n'a pas encore été nommé, Venediktova, qui occupait le poste de procureur général depuis mars 2020, a été remplacée par Oleksiy Symonenko. »
Décidément, Dimitri Medvedev, ex-darling du bloc-BAO bienpensant et hyper-libéral-progressiste, est devenu une sorte d’Imprécateur-en-Chef de la Sainte-Russie agressée par la barbarie postmoderne occidentale. Il promet rien de moins que ‘le Jugement Dernier’ à l’équipe Zelenski et au Zelenskistan (est-ce bien le nom de baptême choisi par nous ? Qu’importe, plus d’un nom cela fait l’affaire) en cas d’attaque contre la Crimée et contre le pont reliant la Crimée à la Russie continentale ; cela, puisque les Ukrainiens eux-mêmes ne cessent d’évoquer la chose grâce à la disposition des armes lance-roquettes US et à longue portée du Camp du Bien, les M270 et M142 HIMARS spécialisés notamment dans la tâche hautement stratégique et vertueuse du massacre de civils du Donbass. (Quoi que le Pentagone commence à se fatiguer, à rechigner vraiment, contemplant ses réserves qui se vident au rythme vorace de Zelenski qui semble disposer d’un accès libre dans toutes les grandes surfaces du Camp du Bien.)
Medvedev, donc, parlant devant les vétérans de la Seconde Guerre mondiale (la ‘Grande Guerre Patriotique’) de Volgograd...
« “Il y a quelques clowns sanglants et exaltés qui apparaissent périodiquement là-bas avec des jacassements, qui essaient même de nous menacer, – je veux dire une attaque contre la Crimée et des choses comme ça”, doivent savoir que les conséquences d'une telle action seraient graves pour eux...
» “Si quelque chose de la sorte se produit, ce sera le Jour du Jugement Dernier pour eux tous, simultanément, – un jugement rapide et très dur.” L'ancien président a précisé qu’“il leur sera très difficile de se cacher” si la Russie lance une frappe aussi massive que celle qu’il évoque. Il a noté que, malgré ces risques, les dirigeants ukrainiens “continuent à aggraver la situation générale avec de telles déclarations”. »
Il semble bien que Medvedev, et d’autres personnalités, évoquent la même menace que celle que le président serbe a évoquée, qui implique notamment, en cas d’attaque violente en Russie (en Crimée), ou de refus de certaines conditions à un moment donné du conflit, une offensive de décapitation de toute la direction ukrainienne et aussi des frappes sur des zones d’accueil du matériel avancé et à longue portée (notamment US), au risque assumé de toucher des moyens de transport, notamment des avions de pays de l’OTAN, et plus encore notamment des USA.
Medvedev estime tout de même que les dirigeants ukrainiens devraient se rendre compte du risque qu’ils prennent en poursuivant certains projets et actions (notamment contre la population du Donbass), mais il n’est pas exagérément optimiste et ne cache aucunement que la Russie est engagée dans une gigantesque bataille. Le climat général en Russie est plus que jamais caractérisé par la volonté de mener à bien une mission de complète liquidation de la menace ukrainienne.
« “...Le gouvernement de Kiev est désireux de combattre les forces russes ‘jusqu'au dernier Ukrainien’’, mais cela risque de se retourner contre lui et de conduire à “l’effondrement du régime politique existant”.
L'ancien président a reconnu que la Russie elle-même traversait une période “très difficile” de son histoire, et s'est dit confiant, toutefois, que le pays sortirait plus fort du conflit actuel. “Nous atteindrons les objectifs fixés au nom du développement de notre pays et pour ne pas trahir nos chers vétérans, qui ont défendu notre patrie pendant la Grande Guerre patriotique”.
» Plus tôt dans la journée de dimanche, le sénateur russe Andrey Klishas a fait écho à la déclaration de l'ancien président, affirmant que “les menaces de la junte ukrainienne d'attaquer la Crimée ou le pont de Crimée ne font que confirmer que la ‘dénazification’ et la démilitarisation doivent être menées à bien dans toute l'Ukraine”. »
Qui aurait cru, enfin, que la belle unanimité irresponsable du Congrès US derrière Zelinski, comme une sorte de signe de croix qu’on fait en entrant dans une église, puisse être mise à mal par une paroissienne particulièrement zélée ? C’est le cas de la députée républicaine de l’Indiana Victoria Spartz, qui met donc le Congrès sens dessus-dessous. Elle est Ukrainienne-Américaine, c’est-à-dire née en Ukraine et naturalisée ; elle s’est rendue six fois en Ukraine depuis le début de la guerre et...
« ...elle a publié au début du mois une déclaration appelant Zelenski à “cesser de faire de la politique politicienne et du théâtre” et à “commencer à gouverner pour mieux soutenir son armée et son gouvernement local”.
» Elle a également accusé le président Joe Biden de “faire de la politique politicienne” et a déclaré qu'il devait présenter une “stratégie claire et aligner l’aide à la sécurité sur notre stratégie”.
» Enfin, elle a appelé les législateurs à “établir une surveillance adéquate des infrastructures critiques et de la livraison des armes et de l'aide”, une préoccupation partagée par les progressistes quant à la possibilité que les armes se retrouvent dans de mauvaises mains. »
‘Politico’ parle de « déclarations extraordinaires », à propos de ces interventions de Spartz et décrit un Washington D.C. sens-dessus-dessous à cause de madame Spartz. Biden et Zelenski sont furieux, dit-on encore, tandis que Spartz met également en cause un collaborateur de Zelenski, Andriy Yermak. Un parlementaire républicain et anonyme a dit gravement à ‘Politico’ que la « naïveté » (?) de madame Spartz « fait du tort à notre propre peuple. Cela n'aide pas à ce que nous essayons de faire et je ne suis pas sûr que ses faits soient exacts... Nous avons contrôlé ces personnes »... Tandis qu’un autre, également anonyme, observait :
« Quel bordel », selon notre traduction particulière de « What the fuck »...
‘Politico’ va même jusqu’à s’exprimer le plus gravement du monde à propos de ce qui apparaît un scandale capable de mettre à mal rien de moins que ce qui soutient la civilisation occidentale à bout de bras armé, – n’est-ce pas ? Du coup, les services qui prévoient tout s’en vont s’en mêler à coup de briefing.
« Même l'administration Biden s'en mêle, – un autre signe de l'inquiétude croissante que les commentaires de Madame Spartz puissent nuire à la cohésion de la coalition occidentale pour la défense de Kiev. Un collaborateur de la commission des affaires étrangères, s’exprimant sous le couvert de l'anonymat, a déclaré que les services de renseignement américains prévoyaient d’informer Mme Spartz à propos de ses affirmations dans un cadre confidentiel vendredi matin. »
Que fait donc madame Spartz, dont la patriotisme ne peut être mis en cause, ni la bienpensance, puisqu’elle lutte pour que la lutte de son pays contre la Russie soit mieux dirigée et conduite ? De ce fait elle met en cause Biden, – nul ne s’en étonnera ni ne s’en offusquera puisqu’il pense à autre chose – et Zelenski, ce qui est beaucoup plus grave car c’est toucher à l’actuelle icône de notre civilisation.
« Cela n'aide pas à ce que nous essayons de faire », dit une des sources au Congrès, à propos de madame Spartz... Mais au fait, dites-nous, qu’est-ce que vous essayez précisément de faire, vous, au Congrès ? Et puis à la Maison-Blanche, à l’UE-Bruxelles, à Berlin et à l’Élysée ? Et puis à Kiev, dans les bureaux zelinskesques ? ... Mais nous comprenons bien, finalement, avec toute notre « naïveté » : un tel simulacre, à coup de milliards de dollars et de milliers de morts, décrits par des narrative complexes et chaque jour démenties, forçant à en développer une autre le lendemain, – cela est bien difficile à faire tenir en place, comme une Pyramide de Ponzi faite de mensonges empilés.
Madame Spartz est un peu comme monsieur Smith... de ‘Mister Smith Goes to Washington’ à ‘Ma’am Spartz Goes to Congress’, – au fond pour y proclamer que “le roi est nu” et que Zelenski n’est pas mieux loti que Sa Majesté.
Mis en ligne le 18 juillet 2022