La lutte pour la PAIX et le désarmement

Publié le par FSC

Ci-après la déclaration de la CGT se prononçant pour un désarmemnt nucléaire international.

Bien !

Mais pourquoi s'aligner sur le discours otanien anti-russe sans dire par exemple que les USA depuis 2019 se sont unilatéralement retiré du Traité de désarmement sur les armes nucléaires, relançant de fait la course aux armements ?

Dirigée délibérément contre la Russie et la Chine désignées comme ennemis systémiques!

En fait ces deux pays refusant de se plier aux exigences hégémoniques des USA prétendant imposer ses " règles " au reste du monde !

 

La lutte pour la Paix ne saurait souffrir du flou et de l'absence de lucidité sur les responsabilités réelles de la situation présente!

Lutte pour la Paix conjuguée à l' anti-impérialisme c'est dans l'ADN de la confédération depuis des lustres ! 

 

 

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Pour un désarmement nucléaire international

 

PUBLIÉ LE 29 JUIL. 2022

Alors que l’on s’apprête à commémorer les bombardements atomiques d'Hiroshima et de Nagasaki, qui ont eu lieu les 6 et 9 août 1945, la question de l’armement nucléaire est plus que jamais d’actualité.

La guerre en Ukraine porte, en filigrane, la menace constante, agitée par la Russie, de l’utilisation de l’arme nucléaire.

Depuis les années 2010, une coalition d’ONG, la Campagne pour l’abolition des armes nucléaires (ICAN) travaille en collaboration avec l’ONU à rendre les armes nucléaires hors la loi.

L’objectif est d’aller plus loin que le traité de non-prolifération des armes nucléaires (TNP) signé en 1968 et qui définit les droits, les obligations et les modalités de garantie et de contrôle des pays possédant l’arme nucléaire et de ceux ne la possédant pas. 

Le 24 octobre 2020, un 50e pays, le Honduras, a signé le Traité sur l’interdiction des armes nucléaires (TIAN). Un nombre de pays signataires qui n’est pas anodin : il permet l’entrée en vigueur, le 22 janvier 2021, de ce traité international des Nations Unies qui incite les pays signataires à ne plus posséder d’armes nucléaires, et à ne plus faire de recherche et développement.

Plus d’un an après, d’autres pays l’ont ratifié : « Plus il y a de pays signataires, plus le traité va s’imposer » analyse Eric Vallade, animateur du collectif Paix et désarmement de la CGT. « Ce traité est un outil pour porter la question du désarmement, la poser de manière internationale »

La CGT, seul syndicat à avoir en son sein un collectif Paix et désarmement, fait en effet partie du groupe des organisations qui appellent à signer ce traité.

Le syndicat milite pour le désarmement total avec l’idée que l’arme nucléaire n’est pas dissuasive : moins les pays sont nucléarisés, plus le risque de conflits majeurs diminue.

Dans ce combat, il associe les salariés de l’industrie de l’armement, afin de réfléchir aux stratégies de reconversion et de diversification, afin que le désarmement n’entraine pas de suppression d’emplois.

En outre, l’arme nucléaire coûte cher - 5 milliards d’euros en France, qui pourraient être utilisés autrement. 

Dans le cadre de cette réflexion, la CGT et le Mouvement de la Paix participent à la journée internationale de la Paix le 21 septembre et à la journée de l’ONU pour l’élimination totale des armes nucléaires le 26 septembre.

Ensemble, ils ont décidé́ d’organiser conjointement un colloque sur le thème « une économie pour la Paix » qui aura lieu le 5 octobre dans les locaux de la confédération CGT.
 

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R
Oui il aurait fallu indiquer ce retrait des Usa, par contre j ai beau relire ce communiqué, je n y trouve pas une attaque contre la. Chine...
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