GUANTANAMO : une base militaire américaine à Cuba, ILLEGALE, en violation du droit international

Publié le par FSC

RAPPELS :

Le seul endroit où on torture à Cuba c'est dans la base américaine.

Et dire que Washington continue de maintenir (de quel droit ?) Cuba sur la liste des états terroristes !

Et qu'Obama sétait engagé non pas à quitter bien sûr mais au moins à fermer Guantanamo comme centre de torture hors de tout système et contrôle juridiques !

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SOURCE : Réseau Internatinal

Rejet des bases militaires des États-Unis et de l’OTAN à Cuba
 
 

par TeleSur

La base militaire US située à l’est de Cuba contre la volonté du peuple cubain ratifie le caractère hostile de la Maison Blanche contre la Révolution.

Washington et son bloc militaire maintiennent plus de 800 bases militaires dans le monde entier, dont 76 en Amérique Latine.

La vice-présidente de la Société Cubaine de Droit International, Doris Quintana, a dénoncé jeudi que les États-Unis et l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord (OTAN) maintiennent plus de 800 bases militaires dans le monde, dont 76 en Amérique Latine.

La juriste a donné une conférence sur le caractère illégal de la base militaire américaine de Guantanamo, à l’est de Cuba, une présentation qui a coïncidé avec l’appel du Conseil mondial de la paix pour le rejet international de ces enclaves et les 120 ans de l’installation par Washington de la base dans la localité cubaine susmentionnée, un événement qui s’est produit le 23 février 1903, après que la Maison Blanche ait imposé un appendice à la Constitution dont disposait alors la nation caribéenne.

Elle a affirmé que la base étasunienne à Cuba « est née d’un traité fallacieux, sale et illicite », car l’appendice constitutionnel connu sous le nom d’amendement Platt violait ouvertement les principes du droit international.

 

 

Elle a aussi rappelé qu’aucune Constitution au monde n’a pas annexé un amendement légiféré par le Congrès d’une autre nation. En outre, il a déclaré que les États-Unis ont engagé Cuba à signer le traité qui a permis l’établissement de la base militaire et n’ont pas fixé de date de fin pour cet accord.

La restitution des 117 kilomètres occupés par la base US de Guantánamo est au cœur de la lutte politique et diplomatique de Cuba, en plus de la levée du blocus économique, commercial et financier des États-Unis.

Des experts ont souligné que la base de Guantánamo n’est plus utile d’un point de vue militaire, mais que Washington maintient ainsi une attitude hostile et dominatrice envers la révolution cubaine.

Elle est également hostile envers d’autres peuples, puisque l’histoire rapporte que des invasions contre le Mexique, Haïti, la République Dominicaine, le Nicaragua et le Guatemala ont aussi eu lieu depuis.

Des experts ont souligné que la base de Guantánamo n’est plus utile d’un point de vue militaire, mais Washington la maintient dans une attitude hostile et dominatrice à l’égard de la Révolution cubaine.

Elle est également hostile aux autres peuples, puisque l’histoire rapporte que des invasions contre le Mexique, Haïti, la République dominicaine, le Nicaragua et le Guatemala ont eu lieu à partir de là.

En 2002, la Maison Blanche y a ouvert un centre de détention, dans lequel elle a emmené près de 800 prisonniers de la soi-disant guerre contre la terreur. Ce pénitencier a acquis une certaine notoriété pour ses abus et pour avoir maintenu derrière les barreaux pendant des années des prisonniers qui n’étaient pas formellement accusés.

 

La présidente de l’Instituto Cubano de Amistad con los Pueblos (ICAP) de la province de Guantánamo, Ana Teresa Nápoles Disotuar, a rendu compte de la tenue d’un panel sur les impacts négatifs de la base militaire US sur les habitants de la municipalité de Caimanera, adjacente à l’enclave. Le panel était organisé par le Centre universitaire municipal et l’ICAP.

Le 23 février a été déclaré « Journée d’action contre les bases militaires d’outre-mer » lors de la Conférence Mondiale pour la Paix, qui s’est tenue à Dublin, en Irlande, en novembre 2018.

 

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