Une minute de silence pour Gaza

« Que les Palestiniens nous pardonnent notre incapacité collective à les protéger,
en respectant le sens le plus élémentaire du droit international. »
(Francesca Albanese, rapporteure spéciale de l’ONU pour les territoires palestiniens - Samedi 10 août 2024, jour du massacre à l'école Al-Tabi'een de Gaza-Ville)

Une minute de silence pour Gaza

Vous est-il venu à l'esprit une fois, une seule fois, le long de tous les "jeux", d'arrêter de faire ce que vous faisiez et d'arrêter de parler?
Vous est-il arrivé de fermer les yeux et de garder une minute de silence, rien qu'une minute, en hommage à tous ceux qui ont été tués à Gaza au cours de ces "jeux"?
Si non, alors il n'est pas trop tard.
Vous pouvez encore le faire.
Faites-le ce dimanche 12 août 2024 lors des cérémonies de clôture.
Faites-le partout où vous vous trouvez, n'importe où. Dans votre salon, dans la rue, sur une terrasse de café.
Mettez-vous debout, fermez les yeux et recueillez-vous pendant une minute en observant une minute de silence.
Faites-le individuellement. Mieux, faites-le si possible collectivement.
Faites-le en privé. Mieux, faites-le si possible publiquement.
Il importe peu que les autres vous prennent pour un ou des fous.
La folie serait de laisser passer ces "jeux" sans une minute de silence pour Gaza.

Roland RICHA
Dimanche, 11 août 2024

« Que les Palestiniens nous pardonnent notre incapacité collective à les protéger, en respectant le sens le plus élémentaire du droit international. » (Francesca Albanese, rapporteure spéciale de l’ONU pour les territoires palestiniens - Samedi 10 août 2024, jour du massacre à l'école Al-Tabi'een de Gaza-Ville)