CGT SEVA (Châlons sur Saône) : CONTRE l'orientation, l'activité et le rapport financier
Sur le document d’orientation
Sur la première partie
Syndiqués de la métallurgie, nous sommes aux premières loges, comme dans toute l’industrie, de l’offensive
redoublée d’abaissement du coût du travail, c’est à dire licenciements, suppressions d’emplois, délocalisation,
augmentation de la productivité et donc : surexploitation pour ceux qui restent. Une offensive redoublée
conséquente à la crise actuelle et sans précédent du système économique capitaliste. Cela dans le seul but de
préserver et d’accroître les profits des actionnaires.
La première des inquiétudes et des interrogations des travailleurs –tout ages confondus- qui sourdent en
permanence, c’est celle de l’emploi. Y aura-t-il ou non des licenciements ?
Nous avons subi une première vague de 600 000 licenciements et suppressions d’emplois, une deuxième vague
commence à déferler…Il n’y a et il n’y aura de « reprise » économique que pour les spéculateurs et les
actionnaires. Et sont les travailleurs « qui paient la crise (au prix le plus élevé) dont ils ne sont pas responsable » !
Dans notre entreprise, noud avons perdu 35 emplois en un an, (20 intérims, 13 départs retraite non remplacés, 2
cadres poussés dehors) et la direction refuse de négocier les remplacements des 35 à 40 départs ACAATA…
Partout aux portes des usines ou il y a des suppressions d’emplois et dans les manifestations fleurissent les
banderoles exprimant la revendication vitale des salariés avec leurs syndicats : « Non aux licenciements ! » « Arrêt
des licenciements ! » ou « Interdiction es licenciements ! »
Or le document d’orientation, à aucun moment, ne se prononce pour l’arrêt des licenciements !
(...)
Le Document en PDF
(SIte Où va la CGT)
Sur la première partie
Syndiqués de la métallurgie, nous sommes aux premières loges, comme dans toute l’industrie, de l’offensive
redoublée d’abaissement du coût du travail, c’est à dire licenciements, suppressions d’emplois, délocalisation,
augmentation de la productivité et donc : surexploitation pour ceux qui restent. Une offensive redoublée
conséquente à la crise actuelle et sans précédent du système économique capitaliste. Cela dans le seul but de
préserver et d’accroître les profits des actionnaires.
La première des inquiétudes et des interrogations des travailleurs –tout ages confondus- qui sourdent en
permanence, c’est celle de l’emploi. Y aura-t-il ou non des licenciements ?
Nous avons subi une première vague de 600 000 licenciements et suppressions d’emplois, une deuxième vague
commence à déferler…Il n’y a et il n’y aura de « reprise » économique que pour les spéculateurs et les
actionnaires. Et sont les travailleurs « qui paient la crise (au prix le plus élevé) dont ils ne sont pas responsable » !
Dans notre entreprise, noud avons perdu 35 emplois en un an, (20 intérims, 13 départs retraite non remplacés, 2
cadres poussés dehors) et la direction refuse de négocier les remplacements des 35 à 40 départs ACAATA…
Partout aux portes des usines ou il y a des suppressions d’emplois et dans les manifestations fleurissent les
banderoles exprimant la revendication vitale des salariés avec leurs syndicats : « Non aux licenciements ! » « Arrêt
des licenciements ! » ou « Interdiction es licenciements ! »
Or le document d’orientation, à aucun moment, ne se prononce pour l’arrêt des licenciements !
(...)
Le Document en PDF
(SIte Où va la CGT)