Quand Macron s'en prend aux idéaux de Maradona

Décidément les faits se précipitent pour révéler au grand jour le caractère de classe des choix politiques de l'oligarchie et la petitesse mesquine de ses représentants tels Macron :

Face au mépris de la véritable “opinion internationale” , celle que nos médias ignorent au profit d’un quarteron de salopards qui ne représentent qu’eux mêmes, les “élites” occidentales, Je me sens de plus en plus en exil dans mon propre pays tant la classe politique y est sans envergure, sans conscience de l’humanité, de son histoire, de son devenir et du rôle que jouent dans l’histoire ceux qui affrontent l’injustice. Le Venezuela dit à Macron qu’il tremble devant son propre peuple que dire de sa police et c’est ce dirigeant là qui ose juger misérablement. (note et traduction de danielle Bleitrach dans histoire et societé)

Publié le 26 novembre 2020 (il y a 5 heures 48)

Le chancelier vénézuélien Jorge Arreaza a exprimé jeudi son rejet des critiques du président de la Français Emmanuel Macron sur les idéaux de l’éminent footballeur argentin Diego Armando Maradona, décédé mercredi.

« M. Emmanuel Macron et ses conseillers voulaient déployer de la prose poétique pour virer le grand Diego. Cependant, ils déshonorent leurs idéaux et leurs luttes. La seule défaite est celle d’une classe politique qui tremble face à l’uniforme jaune de leurs travailleurs », a déclaré Arreaza.

Les déclarations du propriétaire étranger font référence au fragment du texte dans lequel Macron qualifie de « défaite amère » les visites effectuées par la star du football argentin aux dirigeants Fidel Castro et Hugo Chavez, respectivement en 1