Ils nous refont le coup des lignes rouges et des armes chimiques !
Joe BIDEN dont on a vu qu'il est très copain avec Oleh Tyahnybok le nazi antisémite de Svoboda évoque l'utilisation des armes chimiques par la Russie comme ils l'avaient fait pour la Syrie afin de trouver une justification (devant l'opinion) pour intervenir davantage dans le conflit ukrainien.
Au lieu de recommander à Zelenki leur vassal et leur affidé de négocier pour sortir de la crise et soulager enfin les populations civiles.
C'est récurrent ils invoquent à chaque fois les armes interdites ainsi que les méthodes qu'ils ont copieusement utilisé en bombardant avec l'arme atomique des populations civiles en 1945 où en utilisant le napalm et l'agent orange contre le peuple vietnamien.
C'est sans doute le signe qu'ils veulent faire durer la guerre et en aggraver les conséquences .
L'aspiration des peuples à la paix aurait intérêt à peser sur les USA, l'UE et l'OTAN pour que soient créées les conditions d'une sortie de la crise.
Les prétextes de la guerre toujours :
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les armes de destruction massive à l'ONU
juste avant l'intervention en IRAK
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SOURCE : L'Express propriété de l'oligarque Patrick Drahi
L'escalade de la violence peut-elle pousser les Occidentaux à intervenir militairement en Ukraine ?
La question a pris une acuité toute particulière à l'issue des sommets de l'Otan et du G7 à Bruxelles jeudi 24 mars. "Si la Russie utilise des armes chimiques, l'Otan répondra", a mis en garde Joe Biden, ajoutant sans plus de précision que "la nature de la réponse dépendra de la nature de l'utilisation". En cas d'attaque de cette nature, Moscou payerait "un prix très élevé", a complété, ce vendredi, le conseiller à la sécurité nationale américain Jake Sullivan.
"Dans les guerres, y compris en Ukraine, il y a toujours des surprises"
Le président américain a qualifié de "menace crédible", l'emploi par Moscou de ces armes interdites par le droit international. En cause, les accusations répétées de la Russie ces dernières semaines autour d'un prétendu "programme d'armement chimique et biologique" américain en Ukraine. "Les éléments de langage russes sont généralement annonciateurs de leurs prochaines initiatives. Concrètement, il s'agit de blâmer la partie adverse de ce qu'ils s'apprêtent à faire", pointe Martin Quencez, directeur adjoint du bureau de Paris du German Marshall Fund of the United States. "Aussi, lorsqu'ils accusent l'Ukraine de détenir des armes chimiques, cela peut préfigurer de leur utilisation par la Russie."
Pas de "lignes rouges" tracées
De nombreux observateurs redoutent aussi que le chef du Kremlin ne se livre à une fuite en avant dans la violence, frustré par l'échec de sa guerre éclair et la résistance farouche de l'armée ukrainienne. Ce que tend d'ores et déjà à prouver le pilonnage massif de certaines villes comme Marioupol, détruite à plus de 80% par les bombardements russes.
"Les Russes pourraient être tentés de durcir encore davantage leur offensive en ayant recours à des armes chimiques, en particulier pour prendre des villes qui seraient trop difficiles à saisir, confirme le général Dominique