Macron, Le Pen, Zemmour même combat contre l'audio visuel public !

Publié le par FSC

 

 

 

 

 

L'extrême droite affiche ouvertement son intention.

L'extrême centre macronien comme à son habitude masque ses intentions profondes en prétendant être attachée à l'indépendance du service public audiovisuel tout en avançant des alternatives à la redevance tel un budget dédié qui mettrait plus directement encore qu'aujourd'hui le service public sous contrôle du pouvoir politique.

TOUS convergent pour permettre à l'oligarchie déjà propriétaire de la plupart des médias privés de s'assurer un contrôle encore plus incontesté de l'information et de l'opinion publique ! 

 

ATTAL MENTEUR !

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Alexis Lévrier, maître de conférences en littérature et communication à l'Université de Reims, spécialiste de l'histoire des médias, analyse les enjeux de sa possible disparition. Il était l'invité de notre journal de 22h mardi soir.

La suppression de la redevance peut-elle fragiliser l'audiovisuel public, même si la majorité s'engage à maintenir son financement ?

On était assez inquiet lundi après l'intervention d'Emmanuel Macron, parce qu'il n'a pas du tout formulé de propositions de financement alternatif, et on se souvient qu'au début de ce quinquennat, Emmanuel Macron avait déclaré en décembre 2017, que l'audiovisuel public était "la honte de la République". Il avait envisagé des coupes sombres aussi bien pour la radio que pour la télévision public. Elles n'ont pas eu toutes lieu, parce qu'il y a eu le Covid, mais aussi en raison également des fortes protestations en interne. Mais on peut s'inquiéter tout de même, car son projet était finalement de limiter le financement de l'audiovisuel public. La crainte que l'on peut avoir, c'est que cette suppression de la redevance ne soit pas entièrement compensée par de nouvelles sources de financement.

Le risque avec la suppression de la redevance est-il de voir le financement de l'audiovisuel public soumis à la volonté budgétaire du gouvernement en place ?

Exactement

...

On voit donc bien qu'il n'est pas simplement question de changer les modalités de financement de l'audiovisuel public, mais de mettre en cause sa survie elle-même

 

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