Lettre ouverte d’un syndicaliste CGT à ses camarades du PCF, suite à la 22e rencontre des partis communistes à la Havane, qui invite à militer en faveur de la FSM

Publié le par FSC

SOURCE : Le site Initiative Communste du PRCF

L’un de nos abonnés, militant du PRCF et syndicaliste CGT Cheminot nous a fait suivre la lettre qu’il a adressé à ses camarades syndicalistes membre du PCF. Une lettre écrite suite à la déclaration prononcée à la Havane dans le cadre des rencontres des partis communistes, une déclaration qui souligne l’importance pour le syndicalisme de s’inscrire dans le cadre de la Fédération Syndicale Mondiale. Et non dans celui des organisations édifiées par la classe capitaliste, tout particulièrement la Confédération Européenne des Syndicats (CES) qui est une excroissance de l’Union Européenne du Capital. Une organisation qu’a tragiquement rejointe la CGT, et qui abouti au paradoxe de voire ainsi la CGT se trouver sous la présidence de Berger, le leader de la CFDT qui n’a pour seuls objectifs que d’éradiquer la CGT et de servir le patronat.

Camarades

Vous n’êtes pas sans ignorer la 22ème rencontre des 78 partis communistes et ouvriers qui s’est déroulée à La Havane du 27 au 29 octobre 2022 avec la participation du PCF.
Pour ceux qui n’ auraient pas lu, les conclusions de cette rencontre, je vous les communique ci-dessous. Cela sera un rappel pour les autres.
J’ y trouve, personnellement, dans la déclaration finale et surtout dans le plan d’ action, beaucoup de points d’accord notamment sur :
-l’ingérence US en Amérique latine et aux Caraïbes
-la défense de la paix
-rejeter les armes nucléaires, bactériologiques ,chimiques….
-quitter l’ OTAN
-dénoncer l’ anticommunisme, le fascisme
-lutter contre les blocus (Cuba, Palestine, Bolivie, Venezuela…..)
-Solidarité avec le Front Polisario (Sahara occidental )
-etc…

J’attire particulièrement votre attention sur le point 17 de ce plan d’ action.

Je pense qu’ en tant que syndicalistes de classe, de combat, nous avons, tous ensemble un rôle à jouer pour faire en sorte que notre syndicat rejoignent les syndicats et structures CGT déjà membres de la FSM (ex: cheminots Versailles, Trappes, UFCM Paris Lyon….,UL Tourcoing, Seclin….UD BDR, Val de Marne, Tarn et Garonne…..FD chimie, commerce…le syndicat des travailleurs de Monaco (qui bien que n’ étant pas en France comporte en son sein 90% de travailleurs français et vivant essentiellement en France.

Quitter la CES filiale du patronat européen dirigée par le, jaune, patron de la CFDT, L. Berger, apparait comme la voie à suivre pour un retour de notre CGT à la lutte des classes sans concession face au capitalisme.
Je souhaite que nous puissions travailler ensemble pour un retour à la FSM et pourquoi pas avant le congrès confédéral ?
Une rencontre sur ce sujet serait peut être intéressante
Amitiés fraternelles et communistes

Ce point invite notamment les membres du PCF signataires de la déclaration à :

« Mener de plus forte action des partis communistes et ouvriers et de leurs organisation sociales avec l’objectif d’assurer une meilleure articulation avec et un renforcement des organisations anti impérialistes, en particulier la Fédération Syndicale Mondiale (FSM WFTU), le Conseil Mondiale de la Paix, La fédération Mondiale de la Jeunesse Démocratique (FMJD), la fédération internationale démocratique des femmes »

Ci-dessous, la déclaration finale :

DÉCLARATION FINALE

« Solidarité avec Cuba et avec tous les peuples en lutte. Unis, et aux côtés des mouvements sociaux et populaires, nous sommes plus forts dans la lutte anti-impérialiste, et face au capitalisme et à ses politiques, face à la menace du fascisme et de la guerre, et pour défendre la paix, l’environnement, les droits des travailleurs, la solidarité et le socialisme. »

Nous, les 145 représentants de 78 partis communistes et ouvriers de 60 pays qui participent aux Vingt-Deuxième Rencontre internationale des partis communistes et ouvriers (RIPCO) qui s’est déroulée du 27 au 29 octobre 2022 à La Havane (Cuba), unités en garde au sujet de la situation dangereuse que traverse l’humanité.

La domination actuelle de l’impérialisme impose un ordre international injuste et insoutenable, intensifie l’exploitation et empire les conditions de la classe ouvrière et des peuples, crée toujours plus de conflits, d’antagonismes et de guerres ; elle entrave la solution de problèmes mondiaux tels que la pandémie de Covid-19 que les pays socialistes, historiquement, et, aujourd’hui, Cuba en particulier, grâce à leur système de santé publique et à leur développement scientifique, ont combattu efficacement, prouvant ainsi la supériorité du socialisme. Nous, les communistes, nous défendons un nouvel ordre mondial, fondé sur l’abolition de l’exploitation de l’homme par l’homme, sur des relations mutuellement avantageuses entre les États et les peuples, sur la paix, sur un développement durable pour la satisfaction des besoins sociaux.

Par suite de l’agressivité croissante de l’impérialisme et de la recomposition géopolitique en cours sur la planète, nous sommes confrontés à une nouvelle escalade de la course aux armements, au renforcement et à l’expansion de l’OTAN, à l’apparition de nouvelles de celui alliances militaires, à l’aiguisage des tensions et des conflits militaires, comme de l’Ukraine, à la résurgence du fascisme dans différentes parties du monde, ainsi qu’à la « guerre froide » et à la menace d’une conflagration nucléaire, ce que nous devons rejeter.

Nous dénonçons le fait que, de par sa nature prédatrice, le capitalisme conduit à l’aggravation des inégalités, à la polarisation de la richesse, à l’exclusion et aux flux migratoires, à l’exacerbation de la crise alimentaire et à la recrudescence de la crise écologique, au point que nous approchons à toute allure d’un « point de non-retour ».

Le système politique bourgeois, qui a défendu les intérêts des monopoles et des entreprises, gère la crise systémique du capitalisme à son profit, tente de contrôler le mécontentement social croissant des travailleurs et des peuples par la pression et la violence.

Le déclin graduel du pouvoir des États-Unis d’Amérique et de leurs alliés, fruit de leurs crises internes et face à ses concurrents, les pousse à adopter sans mesure à des politiques de blocus et à des mesures coercitives illégales, de « deux- poids-deux-mesures », à des menaces et à des interventions militaires, et à l’ingérence dans les affaires intérieures des États. L’impérialisme déploie son vaste arsenal d’actions subversives dans le cadre de la guerre non conventionnelle, parmi lesquelles se distinguent celles de nature médiatique, comme outils de déstabilisation et de changement des gouvernements qui ne se plient pas à ses intérêts.

La bataille de la classe ouvrière mondiale contre le système capitaliste d’exploitation exige en premier lieu l’unité du Mouvement Communiste et Ouvrier, aux côtés des mouvements sociaux et populaires, des paysans et des indigènes, pour intensifier la lutte de classe contre les plans de la bourgeoisie et de l’impérialisme et construire un monde de paix, de justice et d’équité sociale.

Face aux tentatives de l’impérialisme pour freiner la lutte des travailleurs et des peuples et pour saper l’unité et la solidarité des forces anti-impérialistes et révolutionnaires, nous, les partis communistes et ouvriers qui participent à la Vingt-Deuxième Rencontre internationale à La Havane, décidons ce qui suit :

– Conjuguer nos efforts pour renforcer la lutte contre l’impérialisme, contribuer à la transformation de l’ordre international, actuel, injuste et antidémocratique dans lequel prévalent les intérêts capitalistes, pour instaurer un ordre international fondé sur la paix, le développement durable, la justice sociale et la solidarité, afin d’ouvrir la voie à la construction d’une société socialiste.

– Demander le respect des principes suivants : d’autodétermination des peuples, d’indépendance, d’égalité souveraine et de non-ingérence dans les affaires intérieures des États, ainsi que du droit légitime des peuples à la paix et à choisir leur propre voie de développement.

– Rejeter catégoriquement les guerres impérialistes, la menace de recours à la force dans les relations internationales et promouvoir la lutte pour la paix. Intensifier l’action et la solidarité internationaliste, défendre les intérêts communs des peuples contre les classes bourgeoises.

– Mobiliser les masses pour dénoncer et rejeter la course aux armements et les énormes réductions des dépenses sociales qu’entraîne l’existence et la modernisation des armes nucléaires, les bases militaires étrangères, l’OTAN et son projet de s’élargir et de se convertir en une organisation militaire mondiale.

– Lutter contre la résurgence des forces anticommunistes, réactionnaires, ultranationalistes et fascistes dans différentes parties du monde, qui aggravent la violence, la xénophobie, le racisme et l’intolérance politique, idéologique, sociale, ethnique, religieuse et des genres, et fomentent les conflits ethno-nationaux.

– Renforcer la solidarité avec les peuples qui résistent aux ingérences et aux agressions de l’impérialisme, et rejeter les politiques de blocus, de sanctions, de mesures coercitives unilatérales, de « deux-poids-deux-mesures », comme instruments de pression et de chantage contre des gouvernements et des peuples.

– Défendre et diffuser le marxisme et le léninisme, combattre l’offensive idéologique, culturelle et symbolique que proclame l’impérialisme pour légitimer les injustices du système capitaliste, disqualifier le socialisme et le communisme et saper ou détruire l’identité culturelle de nos nations.

– Renforcer la lutte en faveur de toutes les causes justes et émancipatrices des peuples, et renforcer la solidarité avec les travailleurs, les paysans, les indigènes, les organisations de jeunes et de femmes, pour la défense de leurs droits et contre le capitalisme. Être aux côtés des réfugiés et des victimes des guerres.

– Élever la dénonciation et la lutte contre le modèle de développement qui, fondé sur le profit capitaliste, détruit l’environnement et met en péril la survie des écosystèmes et de l’espèce humaine.

– Mettre en pratique le Plan d’action adopté par la Vingt-Deuxième Rencontre pour renforcer l’unité du Mouvement Communiste et Ouvrier international, aux côtés des mouvements sociaux et populaires, contre la domination impérialiste, en vue d’intensifier la lutte en faveur des intérêts des travailleurs et des peuples, pour les transformations révolutionnaires pour le renversement du capitalisme et pour la construction du socialisme.

Grâce aux efforts articulés de l’avant-garde de la classe ouvrière, aux côtés des organisations, des forces et des mouvements sociaux et populaires, démocratiques et pour les droits des femmes, nous serons capables de vaincre le capitalisme comme système mondial dominant, destructeur et sans avenir, et d’atteindre une véritable transformation révolutionnaire.

Nous remercions le Parti Communiste de Cuba, le Gouvernement révolutionnaire et le peuple cubain pour leur contribution à l’organisation de la Vingt-Deuxième RIPCO, et pour l’accueil chaleureux réservé à ses participants.

Nous réaffirmons notre solidarité et notre appui à la juste cause du peuple cubain et à sa lutte pour la levée immédiate et inconditionnelle du blocus économique, commercial et financier injuste et criminel auquel Cuba est soumise depuis plus de soixante ans par le gouvernement des États-Unis , qui l’a récemment durci, et nous exigeons que le gouvernement des États-Unis raye Cuba de la liste fallacieuse des États censément parrainant le terrorisme.

Nous rendons hommage au leader historique de la Révolution cubaine, Fidel Castro Ruz, dont l’héritage, de pair avec les enseignements du Général de l’armée Raúl Castro Ruz et ceux de la génération qui les continuent, sous la conduite de Miguel Díaz- Canel Bermúdez, premier secrétaire du Comité central du Parti communiste de Cuba et président de la République, constitue une inspiration permanente pour les peuples qui luttent pour leur libération véritable et définitive, sur la voie de la construction d’une société socialiste, indépendante et solidaire .

Unissons-nous pour lutter contre l’impérialisme et le capitalisme !

Vive le socialisme !

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P
Ci après, une autre résolution plus explicite ce même jour à la Havane <br /> http://www.solidnet.org/article/22nd-IMCWP-RESOLUTION-on-the-imperialist-war-on-the-territory-of-Ukraine/<br /> Il serait préjudiciable pour l'avenir de la lutte de classe en France que les syndicalistes de classe n'y ait pas accès. Notamment le paragraphe que j'ai marqué d'un (xxxx) <br /> Cette résolution a été signée par deux partis communistes français (PCRF et PC.R)<br /> <br /> RÉSOLUTION - sur la guerre impérialiste sur le territoire de l'Ukraine<br /> <br /> Nous, les participants à la 22ème Rencontre internationale des partis communistes et ouvriers à La<br /> Havane du 27 au 29 octobre 2022, reconfirmons notre ferme engagement dans la lutte du prolétariat à<br /> l'échelle mondiale, ainsi que notre soutien aux nombreuses années de lutte antifasciste héroïque des<br /> prolétaires du Donbass et à la résistance des travailleurs d'Ukraine et de Russie aux politiques<br /> militaristes de l'impérialisme.<br /> <br /> 1. Nous condamnons toutes les actions criminelles des représentants du capital mondial : les États-<br /> Unis, les alliances et blocs impérialistes, la Fédération de Russie et les cercles dirigeants de l'Ukraine<br /> elle-même, qui ont utilisé le dernier moyen de résoudre leurs contradictions à l'ère de l'impérialisme -<br /> la guerre - sur le territoire de l'Ukraine. À l'heure actuelle, ces contradictions ont atteint une telle<br /> profondeur qu'il semble impossible de prédire combien de temps cette guerre va durer.<br /> <br /> 2. Nous soutenons les sentiments et les actions antimilitaristes en Ukraine et dans la Fédération de<br /> Russie en tant que lutte de la classe exploitée contre la classe exploiteuse. Non seulement la logique<br /> de l'analyse marxiste, mais aussi les huit mois de guerre en cours montrent la fausseté des objectifs<br /> déclarés par le gouvernement russe, car leur mise en œuvre conduit évidemment à des résultats<br /> directement opposés : désastre humanitaire, des milliers de morts civils, militarisation de l'Ukraine avec<br /> la destruction de ses entreprises industrielles et de ses villes, augmentation du sentiment anti-russe et<br /> du nombre de militants fascistes. Ainsi, comme auparavant dans l'histoire, les élites dirigeantes des<br /> deux pays manipulent les slogans d'une "guerre juste" pour leurs intérêts politiques, leurs profits<br /> économiques et la mobilisation des peuples trompés pour atteindre des objectifs qui leur sont étrangers.<br /> <br /> 3. Nous rejetons fermement toute implication de la politique du gouvernement russe dans le<br /> mouvement antifasciste ou, plus encore, dans le sentiment "pro-soviétique". La Fédération de Russie,<br /> en tant qu’État bourgeois, n'est que nominalement, dans le cadre du droit bourgeois, l'héritière de<br /> l'URSS, mais elle n'a rien en commun avec l'URSS, ni dans sa base ni dans sa superstructure. Au<br /> cours des 30 années d'"indépendance" de la Fédération de Russie, un capital financier et<br /> monopolistique a été créé ; les secteurs de l'industrie, de l'éducation et des soins de santé ont été<br /> systématiquement détruits ; le chômage a augmenté, et le fossé entre les riches et les pauvres s'est<br /> creusé, les droits des travailleurs et les libertés démocratiques ont été éliminés.<br /> Les mandataires des milieux dirigeants bourgeois de la Fédération de Russie ont pris le pouvoir dans<br /> les républiques populaires de Lougansk et de Donetsk, les commandants rouges sur le terrain - les<br /> candidats du peuple - ont été éliminés, et les activités politiques des organisations communistes ont<br /> été interdites. Tous les objectifs énoncés par Poutine et par les autorités officielles de la Fédération de<br /> Russie concernant l'"opération militaire spéciale" ont échoué. Cette "opération spéciale" est non<br /> seulement fausse mais aussi criminelle, ce qui est confirmé par la catastrophe humanitaire qui touche<br /> la population civile d'Ukraine.<br /> <br /> 4. Nous condamnons fermement la militarisation de l'Ukraine, la promotion d'une idéologie nationaliste<br /> extrêmement réactionnaire, l'incitation à la haine interethnique, la création de groupes nationalistes<br /> militants. L'évacuation des civils de la zone de guerre est essentiellement effectuée par la population<br /> elle-même. Les droits des travailleurs et la liberté d'expression ont été considérablement restreints ; la<br /> persécution et la répression des opposants politiques n'ont pas cessé.<br /> <br /> 5. Nous sommes convaincus que seule la classe ouvrière ukrainienne, unie au prolétariat russe et<br /> soutenue par le mouvement ouvrier mondial, est capable de mettre un terme au massacre impérialiste.<br /> La bourgeoisie ukrainienne, russe et mondiale a mobilisé et armé les travailleurs.<br /> Il importe aujourd’hui de retourner ces armements contre les gouvernements de guerre, afin de<br /> transformer la guerre impérialiste entre les peuples en une guerre civile entre les classes. Ce n'est<br /> qu'ainsi que la classe ouvrière pourra mettre fin à l'impérialisme en tant que source des guerres, former<br /> des organes du pouvoir ouvrier et transformer les pays en guerre selon les intérêts des travailleurs.<br /> <br /> (xxxx) Il est honteux et criminel pour les communistes du monde entier de se ranger derrière les<br /> gouvernements des pays bourgeois et de travailler pour les intérêts de leur bourgeoisie nationale, de<br /> soutenir tel ou tel bloc de pays bourgeois. Notre tâche immuable est d'aider les travailleurs du monde<br /> entier à se rendre compte que les guerres impérialistes ne conduisent pas à l'émancipation du travail,<br /> mais qu'au contraire, elles l'asservissent encore plus ; que dans le conflit impérialiste, la classe ouvrière<br /> n'a pas d'alliés parmi les cercles dirigeants, mais seulement des ennemis ; que ses amis sont<br /> uniquement les prolétaires, quelle que soit leur nationalité.<br /> Le devoir des communistes est de provoquer la fin du capitalisme en tant que tel, tant au niveau national<br /> qu'international : mettre fin au capitalisme, c'est mettre fin aux guerres.<br /> <br /> Pour cette noble cause, communistes du monde entier, unissez-vous à vos prolétaires !<br /> <br /> Partis du réseau SolidNet signataires de la Déclaration Commune :<br /> <br /> 1. PADS, Algérie<br /> 2. Parti des travailleurs d'Autriche<br /> 3. Parti communiste de Belgique<br /> 4. Parti communiste au Danemark<br /> 5. Parti communiste du Danemark<br /> 6. Parti communiste de Grèce<br /> 7. Parti des travailleurs d'Irlande<br /> 8. Mouvement socialiste du Kazakhstan<br /> 9. Parti communiste de Malte<br /> 10. Parti communiste du Mexique<br /> 11. Nouveau parti communiste des Pays-Bas<br /> 12. Parti communiste du Pakistan<br /> 13. Parti communiste palestinien<br /> 14. Parti du peuple Palestinien<br /> 15. Parti communiste paraguayen<br /> 16. Parti communiste des Philippines [PKP 1930]<br /> 17. Parti communiste sud-africain<br /> 18. Parti communiste des travailleurs d'Espagne<br /> 19. Parti communiste du Swaziland<br /> 20. Parti communiste de Suède<br /> 21. Parti communiste de Turquie<br /> 22. Union des communistes d'Ukraine<br /> <br /> Autres partis :<br /> 1. Parti révolutionnaire COMMUNISTES (France)<br /> 2. Front Communiste (Italie)<br /> 3. Parti Communiste Révolutionnaire de France (PCRF)
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R
Ce n est pas cette voie qu emprunte MARTINEZ, il vient de magouiller pour écarter le camarade DELEPINE, SG de la FEDE de la, Chimie des listes de candidatures pour la furue CE confédérale, le motif inavoué est que la, FEDE de la chimie est une organisation combative franchement sur une ligne de classe et adhérente à la FSM
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