Leçons de la seconde guerre mondiale : quand le peuple et le pouvoir sont unis

Publié le par FSC

 

 

La propagande à laquelle les Français et les peuples occidentaux sont soumis consiste à créer l’anomie (l’impossibilité à former collectif) en attaquant la mémoire historique. Ce travail qui produit chez les individus des souffrances et des traumatismes monstrueux a pris une ampleur inouïe. Il s’est déroulé sur des décennies, avec le maccarthysme, les répressions ouvrières de la guerre froide mais il est devenu à partir des années soixante et dix, de la crise du capitalisme avec la répression chilienne, le néolibéralisme de Thatcher, Reagan assumé par Mitterrand et une gôche anticommuniste. 

L’eurocommunisme devenu liquidation antisoviétique au sein des partis est devenu après la chute de l’URSS, un des vecteurs, exigeant des communistes eux-mêmes ce travail de négation. Il est poursuivi en retrait depuis le 38e Congrès par le secteur international du PCF, la presse dite communiste et bien des commissions, qui avec l’état de désorganisation du parti, prétendent en déterminer la ligne par censure et confusion. 

Le parti communiste russe sous la direction de Ziouganov qui avait été interdit, réprimé a su au contraire activer la mémoire et est aujourd’hui un des piliers du patriotisme russe face à l’impérialisme, sans chauvinisme, ni xénophobie à partir des intérêts du peuple russe 

note de Danielle Bleitrach traduction de Marianne Dunlop

 

https://gazeta-pravda.ru/issue/48-31685-612-maya-2025-goda/kogda-narod-i-vlast-ediny

La Pravda N° 48 (31685) 6-12 mai 2025 (page 4)

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